[L’équipe] Claire Corniglion, chef d’orchestre de la relation client

Un jour dans la vie d'un Client Partner chez Criteo.
Mis à jour par septembre 26, 2019

Chez Criteo, neuf clients sur dix sont des clients fidèles. Comment cela est-il possible ? D’abord et avant tout, en mettant en face d’eux l’équipe commerciale la plus professionnelle possible. Aujourd’hui, Claire Corniglion nous raconte de quoi sont faites les journées d’un Client Partner.

En quoi consiste le rôle de Client Partner ?

Le Client Partner a pour vocation de garantir la stratégie commerciale de mon client auprès de Criteo. Objectif : anticiper l’avenir, de manière à proposer — et même créer — des produits en parfaite adéquation avec les besoins des annonceurs.

Or, pour ce faire, il est impératif de les comprendre dans leur globalité, de connaître leurs enjeux, leurs problèmes récurrents. C’est pourquoi, en tant que Client Partners, notre mission consiste à établir des relations partout chez le client, y compris au plus haut niveau. Au cours d’une journée typique, mes interlocuteurs sont donc non seulement les équipes Acquisition, qui sont les personnes avec qui Criteo est le plus fréquemment en contact, mais aussi les personnes en charge du branding, du CRM, des achats, etc.

Une fois munie de ces informations, qu’en faites-vous ?

Je les relaie aux contacts chez Criteo qui seront les mieux à même de répondre à la demande identifiée. Je travaille notamment en étroite relation avec les différents Account Strategists, qui se positionnent dans un rôle de conseil auprès de leurs contacts client pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs. En identifiant des demandes latentes, j’aide aussi d’autres équipes dans leurs efforts commerciaux, comme par exemple les équipes en charge de la monétisation. Je suis également très proche des équipes produits, ce qui me permet de porter la voix de mes clients en interne, de manière que Criteo puisse répondre à leurs besoins.

Qu’est ce qui vous motive dans le métier de Client Partner ?

Chez les Client Partners, il n’y a pas de routine. Il faut avoir un très bon sens du contact, mais aussi beaucoup de créativité et d’imagination. Nos objectifs consistent souvent à mettre en place des solutions innovantes. Nous ne partons pas spécifiquement de l’existant, mais plutôt de ce qu’il serait idéal de mettre en place pour l’avenir.

Pour mener ces missions à bien, je dois non seulement être organisée et rigoureuse, mais également avoir un plan d’action très clair.  Je pense que c’est l’un des aspects de mon rôle que je préfère ! J’aime aussi convaincre et porter un message : je réalise de nombreuses présentations orales auprès d’audiences assez variées.

Le profil du Client Partner parfait ?

Il (ou elle) doit avoir une excellent capacité à fédérer autour de votre projet, car vous ne dirigez personne directement. Je n’ai pas de lien hiérarchique direct avec les personnes qui composent mon “équipe virtuelle”. Il est donc indispensable que je leur apporte de la valeur et que je crée de l’enthousiasme autour de mes projets.

Également très important : il faut une maîtrise impeccable du produit sur le plan technique. Pour l’externe comme pour l’interne. Faute de quoi on peut rapidement se retrouver “challengé”… et perdre du temps.

Avant de devenir Client Partner, vous faisiez quoi ?

Chez Criteo, j’étais Account Strategist senior sur le retail depuis quatre ans, ce qui m’a considérablement aidée à asseoir ma crédibilité dans ce nouveau rôle pluridisciplinaire. Depuis que j’ai rejoint l’entreprise en 2013, j’ai également eu la chance de travailler sur des produits particulièrement variés, par exemple des offres destinées à des objectifs de branding. Avant Criteo, je travaillais pour un acteur concurrent. Et encore avant cela, je manageais une équipe chez Keolis, une filiale de la SNCF officiant dans le domaine des transports en commun.

Avez-vous quelque chose de surprenant à nous dire sur vous ?

Croyez-le ou non, mais je possède mon permis bus ! Faute de temps, je n’ai pas eu la chance de pouvoir obtenir le permis me donnant le droit de conduire un bus avec des passagers… mais ce n’est peut-être pas une mauvaise chose après tout, car être au volant d’un véhicule contenant cinquante personnes, c’est une énorme responsabilité !

Pour en savoir plus sur comment nos équipes aident des marques comme la vôtre à atteindre leurs objectifs n’hésitez pas à consulter nos Success Stories.